DOSSIER : lobbies, censure, groupes violents (màj régulières)


 
 
 
DOSSIER : LOBBIES, CENSURE, GROUPES VIOLENTS

 

 

L’idéologie misandre est un colosse aux pieds d’argile. Elle ne tient son influence que d’un long travail de conditionnement des esprits, et d’acquisition de pouvoir dans les secteurs culturel, politique et médiatique. Confrontée à la réalité et/ou à un discours rationnel, elle perd toute consistance. C’est pourquoi ses partisans veillent au grain, dénoncent chaque expression d’arguments contradictoires, ou, plus radicalement, s’efforcent par la manipulation ou la violence de l’empêcher.

 

 

21 avril 2023 : AGRESSIONS CONTRE UNE LIBRAIRIE ACCUEILLANT FREDERIC BEIGBEDER

La veille, la librairie Mollat (Bordeaux) est recouverte de collages militants, qui qualifient l’auteur de violences. Pendant que l’auteur présente son dernier ouvrage, un groupe de misandres vient manifester au cri de "Victime, on te croit, violeur, on te voir".

https://www.bfmtv.com/culture/c-est-un-appel-a-la-censure-beigbeder-condamne-la-perturbation-de-sa-conference-a-bordeaux_AN-202304230188.html

 

 

25 avril 2019 : UN DEBAT ORGANISE PAR VALEURS ACTUELLES PERTURBE PAR LA BARBE

Au Cirque d’hiver, VA organise un débat sur l’Europe, qui rassemble 1600 personnes. Tous les débateurs sont masculins, les deux femmes pressenties n’ayant pas donné suite. C’est le prétexte à l’intrusion bruyante d’une vingtaine de militantes de La Barbe, qui sont expulséees par le service d’ordre. A la sortie, elles retrouvent les journalistes misandres qu’elles avaient briefées dans un bar avant l’action, lesquelles donnent à celle-ci les jours suivants une dimension sans rapport avec sa réalité.

https://www.valeursactuelles.com/societe/la-terreur-feministe-en-images-lirruption-du-collectif-la-barbe-a-la-soiree-de-valeurs-actuelles

 

 

mars 2018 : LE CSA CONDAMNE UNE PROTESTATION LEGITIME CONTRE DES PROPOS MISANDRES DE CAROLINE DE HAAS 

Sur CNEWS Jean Besnehard est interviewé par Jean-Pierre Elkabbach, concernant le propos de Caroline De Haas, "Un homme sur deux ou trois est un agresseur". Il déclare : "Quand je vois certaines journalistes qui disent un homme sur trois est un prédateur, Caroline De Haas là, j’ai envie de la gifler". De nombreux signalements arrivent au CSA, et De Haas porte plainte. En juillet le CSA publie sa réaction : "Le conseil a considéré qu’il apparaissait excessif de conclure à une incitation à la violence à l’égard des femmes, l’invité ayant lui-même tempéré son propos. Il a cependant vivement regretté la réaction du journaliste. En effet, celui-ci n’a pas remis en perspective ces propos ambigus et, au contraire, a abondé dans le sens de l’invité. L’absence de modération de tels propos constitue un manquement à l’obligation de maîtrise de l’antenne. [...] Ainsi, [...] le Conseil a mis en garde la chaîne CNEWS contre le renouvellement de manquements à son obligation issue de l’article 2-2-1 de sa convention".

https://www.programme-tv.net/news/tv/210699-menace-de-dominique-besnehard-a-lencontre-de-caroline-de-haas-le-csa-a-rendu-son-verdict/

 

 

février 2018 : UN EDITEUR RENONCE A REIMPRIMER UN LIVRE HUMORISTIQUE SUR LA PUBERTE

Les éditions Milan publient On a chopé la puberté, un livre destiné aux préadolescents, au ton humoristique et largement illustré. Le 2 mars est lancée une pétition qui demande le retrait du livre, au titre qu’il véhicule un contenu sexiste et le stéréotype de la femme-objet. Le 4 mars, elle atteint 144 000 signatures, tandis qu’une campagne très violente se développe sur les réseaux sociaux. Cédant aux pressions, les éditions Milan annoncent que le livre, en rupture de stock, ne sera pas réimprimé.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2018/03/04/on-a-chope-la-puberte-juge-sexiste-ne-sera-pas-reedite_5265474_3224.html

 

 

18 janvier 2018 : A PANTIN, LE FILM D’UNE CINEASTE ANTIMISANDRE DEPROGRAMME

La cinéaste Brigitte Sy est l’une des signataires de la tribune 100 femmes, qui s’élève contre les campagnes de délation anti-hommes systématiques. Son film L’Astragale était programmé depuis des mois pour un cycle sur le genre au cinéma 104 de Pantin. Le "collectif féministe" qui l’organise l’informe que "le moment n’est pas opportun pour débattre sereinement dans ce cadre avec une signataire de la tribune des cent femmes" et donc que le film est déprogrammé ! Autrement dit un acte de censure motivé par ce que ces talibanes considèrent comme un délit d’opinion.

http://www.liberation.fr/france/2018/01/18/tribune-du-monde-brigitte-sy-censuree-par-un-collectif-feministe_1623352

 

 

25 novembre 2017 : VIOLENCES DIVERSES LORS D’UNE MANIFESTATION A TOULOUSE

A Toulouse, divers collectifs misandres appellent à une marche à l’occasion de la Journée contre les violences contre les femmes. Mais c’est la marche qui finalement produit beaucoup de violence. Les forces de l’ordre subissent des jets de projectiles, divers bâtiments officiels sont tagués, des vitrines sont brisées. Des manifestantes agressent des clients d’un bar en terrasse. Deux d’entre elles, déjà connues des services de police, sont interpellées pour des tags et vols en magasin.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/toulouse-une-manifestation-feministe-degenere-samedi-soir-en-centre-ville-1511704693

 

 

13 octobre 2017 : MENACES D’INCENDIE CONTRE LES LOCAUX DE MADMOIZELLE.COM

La rédaction du magazine féministe en ligne MadmoiZelle.com reçoit par un tweet une menace d’incendier ses locaux. Il est posté par des militantes misandres, qui lui reprochent d’avoir publié un article intitulé Le tabou autour des hommes victimes de violences sexuelles est-il en train de disparaître ? (http://www.madmoizelle.com/hommes-victimes-viol-agression-sexuelle-tabou-842065)

La rédaction du magazine rend compte de l’affaire dans un nouvel article : http://www.madmoizelle.com/feministe-twitter-violences-menaces-842679

 

 

août-septembre 2017 : PRESSIONS DES MISANDRES BELGES AMENANT AU REPORT D’UN COLLOQUE SUR LES VIOLENCES CONJUGALES A CHARLEROI

mi-août : L’ORS - Espace libre est un organisme basé à Charleroi, agréé par la région Wallonie, dont "Les missions consistent à apporter une aide sociale et psychologique aux auteurs d’infractions à tous les stades de la procédure judiciaire ainsi qu’à leurs proches."

 L’ORS annonce pour le 28 novembre 2017 l’organisation d’un colloque intitulé Regards croisés sur la violence conjugale... La rencontre de deux souffrances. Ce thème est intéressant et intelligent, car il prend en compte que le (la) violent(e) et le (la) violenté(e), même si on ne les considère pas identiquement au plan moral, sont tous deux en proie à des tourments intérieurs qu’il convient de soigner chez l’un comme chez l’autre si l’on veut améliorer la situation. Pour les misandres, évidemment et à l’inverse, c’est choquant : la violence conjugale ne peut pas résulter de la rencontre de deux pathologies, puisqu’elle n’est que le reflet dans le couple de la présumée "domination masculine" dans la société (les violents étant toujours de sexe masculin...).

L’intervenant annoncé le plus connu est le sociologue Roland Coutanceau, dont l’idéologie est pourtant parfaitement "politiquement correcte".

Mais un autre intervenant (seulement par par video) est Yvon Dallaire. Sa programmation suscite aussitôt la protestation des misandres locaux, qui le désignent comme "masculiniste" etdéclenchent une campagne de presse. Ils en exigent l’annulation, voire celle du colloque. Ils font également pression sur les instances régionales pour obtenir le retrait de leur soutien à celui-ci.

http://www.dhnet.be/regions/charleroi-centre/charleroi-un-invite-polemique-declenche-un-tolle-chez-les-feministes-598df715cd70d65d2552bacd

début septembre : la majorité municipale, qui subventionne l’ORS, est interpellée, mais refuse de se positionner, tout précisant : "même si les propos de ce masculiniste sont à la limite de la légalité", ce qui revient à conforter les censeurs.

http://charleroi.lanouvellegazette.be/122344/article/2017-09-05/la-ville-reagit-la-presence-dun-masculiniste-un-colloque

10 septembre : communiqué de l’ORS (extraits)

Vu les commentaires violents, les intimidations qui nous ont été adressées sur la page facebook, les doléances envoyées à notre pouvoir de tutelle, les articles de presse, les pressions subies auprès des autres intervenants, les difficultés que connait un petit service comme le nôtre dans un secteur en pleine mouvance, nous préférons postposer ce colloque sine die. Ceci nous permettra de prendre le recul suffisant pour analyser la situation et réaménager la programmation dans un climat plus serein et non violent. Nous désirons pouvoir garantir certaines valeurs qui nous tiennent à cœur telles que la liberté de parole et le respect d’autrui.(...)

Nous regrettons de constater que le travail que nous effectuons en toute neutralité depuis tant d’années en est réduit à une seule vision alors que notre volonté consistait à une ouverture d’esprit. Nous estimons en effet qu’il ne peut exister une vision unique du monde.

 

 

octobre 2016 - ?  : PRESSIONS AMENANT A EMPECHER LA PROJECTION DU FILM THE RED PILL

mars 2017 : Canada. La division étudiante du Wildrose de l’Université de Calgary programme une projection du film. Dans le courriel d’annonce figure la formule "le féminisme est un cancer". Elle provoque un déluge de réactions hostiles, y compris des politiciens locaux, à tel point que la projection est annulée.

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1020805/feminisme-cancer-controverse-chapitre-etudiant-wildrose-universite-de-calgary

26 octobre : La première australienne devait avoir lieu à Melbourne le 5 novembre, mais les misandres locaux ont multiplié les pressions et les menaces, et elle est du coup annulée.

http://www.tvqc.com/2016/10/the-red-pill-des-feministes-empechent-la-projection-du-film/

 

 

septembre 2016-mars 2017 : LE MINISTERE "DES FAMILLES ET DES DROITS DES FEMMES" REJETTE LA CANDIDATURE DU GES A LA CAMPAGNE "SEXISME PAS NOTRE GENRE"

Cette campagne consiste à labelliser des initiatives antisexistes, puis d’en récompenser quelques-unes le 8 mars. En septembre le GES candidate pour son action "pour la désexuation des places de parking", qui correspond exactement aux critères de la campagne. Il ne reçoit pas de réponse. Le 9 novembre, ayant envoyé un rappel, il reçoit un courrier exprimant un refus non-motivé. Ce même jour, il envoie un courrier de protestation à la ministre, Laurence Rossignol. Le 24 novembre, il saisit le Défenseur des droits. Ces courriers ne reçoivent pas de réponse. Pendant ce temps, 200 initiatives sont labellisées, qui s’appliquent exclusivement au sexisme contre les femmes.

http://www.g-e-s.fr/breves/la-campagne-sexisme-pas-notre-genre-du-ministere-des-familles-censure-les-actions-contre-le-sexisme-anti-hommes/

Le Défenseur se décide à répondre le 27 septembre 2017, soit 7 mois après la fin de la campagne (!) : je ne constate aucune atteinte à un droit ou à une liberté porté à l’encontre de votre organisme, permettant une intervention de nos services.

http://www.g-e-s.fr/base-de-documentation/saisines/saisines-du-defenseur-des-droits/saisine-defenseur-plan-daction-sexisme-pas-notre-genre-du-ministere-des-familles-24-novembre-16/

 

 

31 juillet 2016 : DEMISSION FORCEE D’UN DIRIGEANT DE PUBLICIS

Interrogé par un site d’infos économique sur la parité homme-femme dans le secteur publicitaire, un membre du Directoire de Publicis, Kevin Roberts, déclare que le "débat est dépassé", et précise sa pensée :

Leur ambition n’est pas verticale, c’est une ambition intrinsèque, circulaire, d’être heureuses. Alors elles nous disent : “Nous ne nous évaluons pas avec les critères selon lesquels vous, dinosaures idiots, vous vous jugez.” Je ne pense pas [que le manque de femmes à des postes de direction] soit un problème. Je ne suis pas inquiet, simplement parce qu’elles sont très heureuses, qu’elles ont beaucoup de succès et qu’elles font du très bon travail. je ne peux pas parler de discrimination parce que nous n’avons jamais rencontré ce problème, Dieu merci.
Ce propos ne contient aucune misogynie. Il se contente de suggérer que le personnel féminin ne court pas après les postes à haute responsabilité, et préfère d’autres postes qui laissent plus de temps libre, par choix personnel, et non par incapacité. Une thèse assez souvent développée. Pourtant les médias titrent sur ses "propos sexistes".
 
Le 31 juillet, le patron de Publicis le met en congé. Le 4 août, cédant aux pressions, Kevin Roberts démissionne.
 

 

 

10 juin 2015 : UN PRIX NOBEL INJUSTEMENT POUSSE A LA DEMISSION
 
A Séoul, lors d’un congrès, l’anglais Tim Hunt, prix Nobel de médecine 2001, déclare à propos des femmes qui travaillent dans la recherche scientifique :
Permettez-moi de vous parler de mon problème avec les filles ... trois choses se produisent quand elles sont dans le laboratoire ... Vous tombez amoureux d’elles, elles tombent amoureuses avec vous et quand vous les critiquez, elles pleurent.
Ce propos, difficilement compréhensible hors de son contexte, sent évidemment la boutade. Mais il est reproduit tel quel par des journalistes misandres, qui le décrètent "misogyne", ce que reprennent sans la moindre vérification les médias mondiaux. Hunt est contraint à la démission de son poste universitaire.
 
S’il a vraiment tenu un propos misogyne, on ne voit pas très bien en quoi cela lui enlève ses qualités d’enseignant (d’autant plus qu’il n’est pas n’importe quel enseignant !). Mais de plus, il s’avère que lorsque propos est contextualisé, aucune forme de misogynie n’y est décelable ! Décryptage ici : http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2015/06/26/suite-de-l-affaire-tim-hunt-creve-presse-de-merde-268337.html#more

 

 

9 octobre 2014 : AGRESSION A LAUSANNE CONTRE UNE SESSION DE FORMATION
 
Un petit groupe d’individus masqués pénètre dans le local où se déroule une session de formation à la relation de couple. Ils interrompent les travaux, criant des slogans et distribuant des tracts. Puis se retirent quelques minutes plus tard. Laction est ensuite revendiquée par un collectif Les Pires et associé-e-s, composé manifestement de militants misandres.
 
A priori, on ne voit pas trop ce qui peut les déranger dans ce genre de formation. Il faut pour cela lire leur tract, qui s’en prend à l’un des formateurs, Yvon Dallaire, accusé de "masculinisme" du fait de ses différents travaux sur la condition masculine.
 
Ceci ne justifie évidemment en rien l’agression. Une telle session n’a pas de contenu politique, et vise à améliorer la connaissance mutuelle des personnes des deux sexes. Mais c’est peut-être cela, finalement, qui est insupportable pour ces perturbateurs.
 

 

 

14 janvier 2014 : PRESSIONS POUR OBTENIR L’ANNULATION D’UNE CONFERENCE DE JEAN GABARD A SAINT GENIS LES OLLIERES (69)
 
La conférence est prévue pour le mardi 14 janvier au soir, à Saint Genis les Ollières (banlieue ouest de Lyon. Organisée par le CCAS de la municipalité, elle s’intitule La place du père et de la mère pour faire intégrer les limites. Un sujet qui a tout à fait sa place dans ce cadre.
 
Les jours qui précèdent, la mairie subit un harcèlement d’appels téléphoniques, exigeant l’annulation de la conférence. Un mel signé Mélusine Vertelune pour le Collectif libertaire anti-sexiste, circule dans le milieu misandre. Il appelle à multiplier ces pressions, et menace : ""en cas de non annulation de cette conférence il y aurait certainement une ou des actions visant à dénoncer le fait que l’argent public aura servi à diffuser la propagande masculiniste". Notre site et celui du Réseau Colin Bagnard appellent leurssympathisants à être présents pour défendre la liberté d’expression. Gabard informe les médias de la situation.
 
Le mardi Le Progres publie un article intitulé Polémique : la conférence sur le rôle du père et de la mère aura-t-elle lieu ? Vers 17h, la municipalité de Saint Genis informe qu’ellle refuse de céder aux pressions et maintient la conférence. Le soir, quelques gendarmes sont là, et le public aussi, surtout féminin. avec la maire de Saint Genis et des élus. Peu soucieux d’affronter un débat qu’ils ne maîtrisent pas, les misandres n’apparaissent pas.
 
Le jeudi 16, Le Progrès publie un compte rendu assez objectif. Les misandres publient dans Rebellyon un communiqué vengeur, caricaturant les présumées thèses défendues par le conférencier. Curieusement, c’est cette fois le Planning familial qui signe.
 
 
Le vendredi 17, Jean Gabard envoie un droit de réponse à Rebellyon, qui, comme à son habitude, ne le publie pas.

 

 

10 octobre 2013 : AGRESSION CONTRE LA CONFERENCE DE PERE ENFANT MERE A GRENOBLE
 
En février, Père Enfant Mère candidate auprès de la Quinzaine de l’Egalité Rhône-Alpes, sans demande de subvention, pour présenter une conférence intitulée L’égalité parentale par la résidence alternée. Sujet particulièrement d’actualité, puisque mouvement des pères perchés est en plein développement. Comme elle le fait en même temps pour le GES, et sans invoquer aucun motif sérieux, la Quinzaine refuse de programmer la conférence. Celle-ci est maintenue par PEM, hors Quinzaine.
 
Quelques jours avant le 10 octobre, un Collectif Stop Masculinisme appelle, dans un communiqué publié sur Indymedia Grenoble, à "ne pas laisser faire" la conférence, car invoquer le droit des pères, c’est tout simplement un rappel à l’ordre patriarcal. L’appel est soutenu par Osez le féminisme :
 
 
Les agresseurs annoncent clairement leurs intentions, et pourtant le soir venu aucun dispositif policier n’est présent. Dans la rue, un groupe de misandres encapuchonné(e)s, très agressif(ve)s, empêche une partie de public d’accéder à la Maison des associations. Les interventions s’enchaînent cependant, pendant que sur le perron, certains des organisateurs entament le dialogue. Sentant que leurs troupes vont se démobiliser, une partie des misandres forcent le passage en hurlant et arrachent des banderoles.
 
Des videos de cette conférence (voir 2013, médiatisation 17) :

 

 

23 juin 2013 : CEDANT AUX PRESSIONS, LA QUINZAINE DE L’EGALITE REJETTE LA CANDIDATURE DU GES POUR 2013 (puis 2014, 2015...)
 
En février, le GES candidate pour la Quinzaine 2013, proposant une conférence intitulée Les hommes aussi sont victimes de violence conjugale. Les pressions misandres pour obtenir son éviction s’accumulent depuis deux ans.
 
Le 23 juin lui est notifiée l’annonce du rejet de cette candidature. Ses demandes d’explication recoivent toutes la même réponse, sans rapport avec la réalité : la conférence constituerait un risque de "troubles entraînant le recours à la force publique"... du fait que la précédente aurait créé ce même trouble.
 
Au même prétexte, la candidature du GES pour des conférences analogues sera également rejetée en 2014 et 2015.
 
 
Suite à une première conférence du Groupe d’études sur les sexismes acceptée et réussie dans le cadre de la Quinzaine de l’Egalité Rhône-Alpes 2011, les misandres multiplient les pressions sur la DGMTRE du Conseil régional (Délégation en charge de la préparation de l’activité). Malgré cela, la conférence proposée, intitulé Les hommes battus : qui sont-ils ? Comment les aider ?, est retenue pour la Quinzaine 2012.
 
Mais les misandres s’efforcent de la faire échouer par deux moyens diffférents :
- la censure : la seule parmi une centaine d’autres, l’annonce de la conférence est "oubliée" dans les programmes papier et numérique, et n’est pas rétablie malgré les diverses protestations du GES ;
- le démarrage de la conférence est empêché par les violentes perturbations sonores d’un groupe de misandres, ce qui oblige les organisateurs à demander l’intervention de la police, à l’apparition de laquelle ils se retirent (elle se déroule ensuite normalement).
 
Le 21 décembre 2009, Chantal Clos, militante misandre, fondatrice de ICW Collectif des mères, et sa fille Anouk, enlèvent Pascaline Saint Arroman-Petroff, une avocate parisienne. Elles l’abandonnent de nuit, attachée à un arbre dans une forêt enneigée. Elle parviendra heureusement à se libérer.
 
P. Arroman-Petroff, avocate de l’ex-mari de Chantal Clos, l’avait assisté dans leur procédure de divorce. Elle était aussi une militante active pour l’égalité parentale. Voir notre dossier : http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article356

 

 

24 avril 2005 : AGRESSION CONTRE LE DOMICILE DE SERGE FERRAND A MONTREAL

Malgré plusieurs tentatives des misandres de l’interrompre, le congrès Paroles d’hommes de Montréal a été jusqu’à son terme. L’après-midi, une dizaine de congressistes se retrouvent au domicile familial de Serge Ferrand, une maison reliée à la rue par un escalier. Celui-ci les a invités à visionner son documentaire La machine à broyer les hommes. Peu après, leur attention est attirée par une clameur qui vient de la rue : une cinquantaine de manifestants des deux sexes, sont là, la plupart cagoulés, avec une caméra, un porte-voix et des pancartes, dont l’une porte le slogan A mort les masculinistes. Des boules puantes sont lancées.

Quelques congressistes descendent (dont François Brooks qui prend quelques photos inoubliables), et essaient d’engager le dialogue : ils sont traités de "violeurs". Serge Ferrand appelle la police, qui arrive assez rapidement. Malheureusement, alors que les manifestants s’égaient, elle ne juge pas utile de les poursuivre.

http://www.philo5.com/Feminisme-Masculisme/050426AttaqueFeministeChezSergeFerrand.htm.

 

 



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